Précarisation de la prise en charge des précaires.


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Il y a ce consultant, thérapeute PNL, en placement privé qui, pour justifier la venue d’un demandeur d’emploi absent, imite sa signature. « Je suis payé à la tête de pipe ». Dans cette association fondée sur l’accompagnement dans un contexte interculturel, elle est devenue, 20 ans plus tard, aujourd’hui une entité dans laquelle le directeur dira sans détour prendre en charge des numéros, se targuera du million d’euros de chiffre d’affaires, se rassurant en disant « de toutes façons, des chômeurs, il y en aura toujours ». Le consultant lui, a fait un burn-out. « Ce que je faisais, c’était mal. »

 

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